Résumé : Dans les premières pages du roman, le cadavre d’une jeune femme est trouvé dans une poubelle, un matin glacial d’hiver à Paris. La commissaire Raczynski est chargée de l’enquête. Au début, peu d’éléments lui viennent en aide, jusqu’au moment où les parents d’un ado fugueur identifie l’ancienne jeune fille au pair de leur fils. Nous suivons ensuite une adolescente, Alix, adolescente mal dans sa peau, dans une forte détresse émotionnelle. Elle ne réussit plus à communiquer avec ses parents, essaie d’attirer l’attention par son look gothique. Après s’être scarifiée, elle vient de trouver du réconfort auprès d’un mystérieux correspondant sur internet, un certain Scarabée d’or, qui lui envoie des mails de soutien et affirme vouloir l’aider. Un autre élève de sa classe, Maxence, semble lui aussi malgré sa joie apparente être en proie à des pensées noires. Il trouve lui aussi secours près d’un ami sur le web, qui lui lance des défis pour l’aider à prendre confiance en lui. On découvre peu à peu que cette aide virtuelle est en fait un piège machiavélique qui se referme sur les deux adolescents, risquant de les conduire au pire…
Mon avis : Un suspense terrible ! Je m’en suis encore une fois rongée les ongles tout le long. Le début du roman ne démarre pas très vite, mais une fois qu’on a rencontré les deux héros adolescents, on est pétrifié par l’angoisse de ce qui va leur arriver. Le criminel est vraiment un dangereux maniaque (même si à la fin on comprend ses motivations), et cela fait réfléchir sur les dangers d’internet qui ne sont pas toujours ce que l’ont pourrait imaginer. Il a eu un grand succès auprès des 4èmes du collège où je travaille. Une lecture à recommander à tous les ados de maintenant.
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Pour ceux qui veulent lire la suite, je n’ai pas très bien compris l’ordre des volumes. Papillons noirs est parfois appelé tome 1, alors que l’affaire du 15 bis est aussi appelé tome 1. Je ne pense pas que cela soit très gênant, ce sont des histoires policières différentes qui peuvent se lire séparément et pas forcément dans l’ordre. Par contre je ne les ai pas lus, je ne peux donc pas en parler !